Une adresse mail professionnelle se compose, entre autre de votre nom et/ou prénom et du nom de votre société, sous forme, prénom.nom@nomsociete.fr. Pourtant les micro-entrepreneurs et tous ceux qui souhaitent travailler seuls quelque soit leur statut optent plutôt pour une adresse sous forme nomsociete@gmail.com et parfois même prenom.nomXX@hotmail.fr.
Pourquoi créer une adresse mail professionnelle ?
Se présenter comme un professionnel
L’adresse mail hotmail ou yahoo ou autre même si elle contient le nom de la société paraît toujours moins légitime qu’une adresse en societe.fr ou societe.com. Mettez-vous à la place du destinataire qui recherche un professionnel. Il s’interroge sur le professionnalisme et le sérieux de la société dont l’adresse mail est chez yahoo ou gmail.
Conserver le lien avec les interlocuteurs
Ajoutez-vous systématiquement les destinataires ou les
expéditeurs de vos mails à votre liste de contacts ? Personnellement non.
Je déroule l’historique ou je saisis un nom, un prénom ou une société le champ
de recherche en fonction de ce dont je me souviens. Il est donc judicieux que
les trois se trouvent dans l’adresse mail pour optimiser les chances d’être
retrouvé.
Comment créer une adresse mail professionnelle ?
Pour commencer, il faut choisir un hébergeur comme IONOS, OVH ou autre selon des critères qui vous sont propres (prix, volume de stockage des données, localisation des serveurs, protocole POP, IMAP ou autre,…) et créer son compte.
Ensuite, voici les grandes étapes :
Créer un compte chez l’hébergeur
Vérifier la disponibilité du nom de domaine :
nomsociété.fr ou nomsociete.com. La plupart des hébergeurs proposent cette
étape,
Acheter le nom de domaine avec l’extension
souhaitée : .com, .fr, .email,… Cette étape est aussi possible chez la
plupart des hébergeurs,
Créer l’adresse mail en suivant le processus de
l’hébergeur.
Le prix du nom de domaine dépend de sa notoriété et de son
extension. Les hébergeurs proposent souvent des offres à partir d’un euro la
première année puis une vingtaine d’euros les années suivantes pour les noms de
domaines lambda. Quant à l’hébergement, il coûte entre 40 et 60 euros par an.
Rediriger les mails
Parfois, le créateur a commencé avec une adresse chez un
fournisseur gratuit. Il est toujours possible d’afficher une adresse mail
professionnelle.
La redirection de l’ancienne vers la nouvelle adresse mail
L’objectif de cette méthode est souvent de fermer l’ancienne boite mail. La manipulation se fait à partir du tableau de bord de l’ancien hébergeur. L’idée est, à réception d’un mail sur la boite nomsociete@yahoo.fr de :
Rediriger le mail vers la nouvelle boite,
Envoyer un message d’absence à l’expéditeur l’informant que le mail est redirigé vers l’adresse prenom.nom@nomsociete.fr et que l’adresse nomsociete@yahoo.fr sera fermée le jj/mm/aaaa.
La redirection de la nouvelle vers l’ancienne adresse mail
La particularité de ce procédé est de rediriger toutes les
adresses mails vers une seule. Je m’explique. Personnellement j’ai plusieurs
adresses mails : deux professionnelles et deux personnelles. Il y en a une
que j’estime être la principale. L’idée est de rediriger les trois autres
adresses vers celle-ci. Je n’utilise donc qu’un webmail (ou hébergeur) mais je
choisis l’adresse avec laquelle je veux écrire. En effet, sous les champs À,
cc, cci et objet, un nouveau champ permet de choisir l’adresse mail qui enverra
le mail.
La mise en place de cette redirection se fait en deux étapes
principales :
Rediriger les trois adresses mails vers la
principale depuis les hébergeurs de chacune,
Sur l’hébergeur (ou webmail) de la boite
principale, accepter les redirections.
Qui dit adresse mail professionnelle dit aussi adresse mail personnelle et personnalisée. Pour quelques euros mensuels, votre adresse mail peut être prenom@nomdefamille.fr ou prenom@nomdefamille.email. Ainsi, chaque membre de la famille possède son adresse mail personnalisée mais également chaque occasion naissance@nomdefamille.email, vente.moto@nomdefamille.fr,…
Quand on est un jeune créateur qui se lance sur le web, on recherche parfois les solutions les moins chères. On utilise un CMS pour essayer de faire le site soi-même mais très vite, vous vous apercevez que tout n’est pas gratuit. Le nom de domaine, le certificat SSL (le fameux petit cadenas vert) et l’hébergement sont payants. Ah si ! Il existe des hébergeurs gratuits. Lequel choisir ?
Mon expérience avec un hébergeur gratuit
Je vous raconte un brin de mon histoire personnelle. Il y a 2
ans, j’ai décidé de relancer le site internet des parents élus de l’école du
quartier. Il existait déjà mais avait été piraté, puis repris par un autre
parent qui ne souhaitait plus s’en occuper. Les parents élus et l’école ne
souhaitant pas payer l’hébergement, la contrainte était de trouver un hébergeur
gratuit. Le site était déjà chez Free. J’ai fait quelques recherches et Free
était un des meilleurs hébergeurs gratuits du moment (ce qui semble toujours le
cas). L’ancien site étant en ligne, j’ai d’abord créé le nouveau site sur mon
ordinateur. Puis quand il a ressemblé à ce que je voulais et qu’il possédait
les fonctionnalités nécessaires (notamment une partie privée), j’ai voulu le
transférer.
Je me suis heurtée à une multitude de bug et de conflits
entre Free, le CMS et les extensions. Bien entendu, je n’avais pas accès à
l’assistance. J’ai perdu beaucoup de temps sur les forums et à bidouiller le
code. Parfois, je n’ai même pas réussi à faire fonctionner certaines extensions
pourtant annoncées comme compatibles. J’ai retiré des fonctionnalités, j’ai
fait des compromis sur le design et sur d’autres domaines (pas sur la
sécurité). Le site est toujours en ligne mais il n’est pas sécurisé (petit
cadenas vert) et me paraît bien fragile.
Alors quel hébergeur payant choisir ?
Ça a été mon unique expérience avec un hébergeur gratuit.
J’ai recours depuis plusieurs années à un hébergeur payant. Je me sens en
confiance pour créer et gérer mes sites sans avoir à me soucier des
incompatibilités et autres conflits. J’en ai également tiré une leçon : je
ne travaille quasiment plus en local mais directement chez mon hébergeur. De
cette façon, j’identifie tout de suite les comportements de mes manipulations.
Pour ma part, je suis chez IONOS depuis plusieurs années et je n’ai pas à m’en plaindre. Les critères que je privilégie sont :
la qualité du support technique : il est
important de pouvoir joindre rapidement l’assistance et d’avoir des réponses
personnalisées,
la localisation des serveurs : certains de
mes clients préfèrent que leurs données ne partent pas aux Etats-Unis. Je
choisis un hébergeur dont les serveurs sont en France ou en Europe,
la vitesse de connexion : ce paramètre
influe sur le référencement naturel du site,
la possibilité de faire des sauvegardes et de
les réinstaller rapidement.
Il y a bien entendu d’autres critères comme la possibilité
d’avoir plusieurs noms de domaines, des adresses mails, la possibilité de
changer de type d’hébergement lorsque le trafic du site augmente, la version du
PHP, l’ergonomie du tableau de bord,…
Je n’ai pas d’idée arrêtée sur un hébergeur en particulier. IONOS me satisfait pour l’instant. Il propose régulièrement des offres comme les autres hébergeurs d’ailleurs. Je les compare régulièrement pour mes clients mais mon expérience me ramène toujours vers eux. O2SWITCH prend des parts de marché en ce moment, entre autre parce qu’il est français et qu’il est compatible avec CPanel. Infomaniak est en Suisse et se fait connaître aussi par la qualité de ses services. Alors j’essayerai peut-être bientôt et je vous en reparlerai !
WordPress est un logiciel open source et gratuit. Il peut être
téléchargé sur le site wordpress.org ou accessible sur fr.wordpress.com. Lequel
choisir ? Quelles sont les différences entre les deux ? Voici un
petit comparatif.
Quid des tarifs ?
Sur wordpress.org
Nous venons de dire que WP est gratuit. Il est effectivement disponible gratuitement sur wordpress.org. Cependant, pour mettre le site en ligne, il vous faudra prévoir des coûts annexes :
un nom de domaine : environ 12 euros TTC
par an
un hébergement : environ 45 euros TTC par
an pour un serveur mutualisé
un certificat SSL (le petit cadenas vert) :
environ 35 euros TTC par an pour les
certificats de base
Souvent, les hébergeurs proposent des packs et des offres
réduisant la facture annuelle au moins la première année.
Sur fr.wordpress.com
Il est également disponible gratuitement sur fr.wordpress.com.
L’hébergement est compris. Mais comme rien n’est jamais vraiment gratuit, des
publicités pourront être diffusées sur votre site sans que vous ayez le moindre
contrôle sur celles-ci. De plus, le nom de domaine se composera comme
suit : monsite.worldpress.com.
Cependant, sur wordpress.com, la société Automattic propose
4 plans payants en plus de son plan gratuit. Les prix varient de 5 à 45 euros
par mois selon la formule choisie ou les besoins.
Les fonctionnalités
Avec l’outil téléchargé sur wordpress.org, vous avez accès à
des milliers de thèmes payants ou gratuits, des milliers d’extensions également
payantes ou gratuites et une communauté importante. Les possibilités sont
quasiment infinies. En tout cas, le choix est suffisamment important pour y
trouver son bonheur.
WordPress.com est moins flexible du moins dans ses 3
premiers plans. Le plan gratuit donne accès à quelques dizaines de thèmes
gratuits et quelques extensions basiques.
Le plan personnel à 5 euros par mois permet, en plus, la
personnalisation du nom de domaine (offert la première année) et la suppression
des publicités. Il vous donne accès à une assistance directe, à un espace de
stockage de 6 Go et à la personnalisation des couleurs et de l’arrière plan et
au contrôle des feuilles de styles (CSS) de votre site.
Le plan premium à 8 euros par mois donne accès à un espace
de stockage de 13 Go et à un choix illimité de thèmes premium et aux outils de
rentabilisation du site. Il permet aussi de planifier les publications sur les
réseaux sociaux.
Enfin, le plan business à 25 euros par mois vous donne accès
à 200 Go d’espace de stockage, à des outils marketing et permet d’installer les
extensions de votre choix, des thèmes créés par des auteurs tiers et de ne plus
afficher wordpress.com dans le pied de page. Vous aurez en plus une aide
personnalisée.
Enfin, la version e-commerce à 45 euros par mois, vous
permet en plus de tout ça d’accéder à des fonctionnalités avancées pour le
e-commerce.
La sécurité et la maintenance
Comme vous l’avez compris, l’outil téléchargé sur
wordpress.org offre une grande flexibilité et par conséquent, une grande
autonomie. Ainsi, vous vous chargez de l’hébergement, du nom de domaine et du
certificat mais aussi de la sécurité du site, des mises à jour, des
sauvegardes,…
Avec les formules de fr.wordpress.com, tout est prévu. Vous
n’avez qu’à vous préoccuper du contenu.
Ces outils répondent à des besoins différents. Leur
utilisation n’est pas la même. Dans le cas de fr.wordpress.com, il s’agit de
personnaliser les paramètres de base et de créer du contenu. Cette formule
répond aux besoins des utilisateurs de Wix, par exemple en proposant une
solution clé en main.
Avec l’outil auto-hébergé de wordpress.org, la
personnalisation est beaucoup moins restrictive. De plus, l’outil étant open
source, une communauté importante de développeurs propose des thèmes et des
extensions gratuites ou payantes. L’assistance se fait aussi grâce à la
communauté.
Vous avez décidé de vous lancer dans la création de premier votre blog ou de votre premier site internet. Vous avez opté pour un CMS et plus précisément WordPress. Mais maintenant il faut l’installer. Dans la théorie, il suffit de :
Télécharger WordPress,
Créer la base de données,
Installer WordPress,
Paramétrer WordPress.
Attention : Suite à des mises en garde, nous avons décidé de maintenir la publication de notre article. Toutefois, nous précisons que notre objectif, ici est de décrire le déroulé de la méthode manuelle et historique d’installation de wordpress, pour vous permettre de créer rapidement votre blog ou votre site.
Téléchargez WordPress
J’imagine qu’il vous vient d’abord à l’idée de télécharger WordPress. Vous saisissez donc « Wordpress » sur votre navigateur, et la première réponse qui apparaît est wordpress.com. En seconde position, on trouve wordpress.org. Sur wordpress.org, vous téléchargez un logiciel open source et gratuit. C’est ce même logiciel que vous utiliserez si vous optez pour wordpress.com. Sur ce dernier site, vous trouverez un outil freemium, c’est –à-dire qu’il a une version gratuite qui offre peu, voire pas du tout de flexibilité et une version payante. Mais il fera l’objet d’un autre article. Aujourd’hui, nous nous intéresserons à wordpress.org. Il est gratuit et totalement flexible.
Vous vous rendez sur fr.wordpress.org et téléchargez la dernière version du CMS. Ça peut sembler logique mais c’est important pour des questions de sécurité du site. Puis, vous dézippez le fichier sur votre disque dur.
La base de données
Vous aurez aussi besoin d’une base de données. La base de données se situe chez votre hébergeur. Ça suppose donc que vous avez déjà choisi un hébergeur et que vous avez souscrit à une offre ou un abonnement. Quoi qu’il en soit, l’idée est de se rendre dans l’onglet « hébergement » ou « base de données » de IONOS, OVH, O2SWITCH et autre GANDI et d’en créer une.
En général, on vous demande un nom et un mot de passe. Chez IONOS, on vous propose aussi de choisir votre version de MySQL.
Après validation, votre hébergeur affiche des paramètres. Vous en aurez besoin plus tard. Vous pouvez en faire une copie écran ou les trouver plus tard dans l’onglet de votre base de données.
Installez WordPress chez l’hébergeur
Maintenant il faut transférer le contenu du dossier WordPress chez l’hébergeur. Dans l’onglet Espace Web de votre hébergeur, créez un fichier et donnez-lui un nom. Nous utiliserons un serveur FTP, comme FileZilla pour transférer les dossiers de l’ordinateur vers l’hébergeur. Pour ce faire, téléchargez-le et installez-le sur l’ordinateur. Ensuite cliquez sur Fichier/Gestionnaire de Sites… /Nouveau site et complétez la partie de droite comme suit.
Dans le protocole, sélectionnez SFTP – SSH File Transfer Protocol puis complétez les champs avec les données que vous trouverez également chez votre hébergeur mais sous un onglet nommé SFTP & SSH puis connexion.
Dans la partie gauche de la nouvelle fenêtre, on aperçoit les fichiers présents sur l’ordinateur. Dans la partie de droite, nous sommes chez l’hébergeur. Le haut est la partie où on voit l’arborescence des fichiers. Dans la partie du bas, vous aurez accès aux fichiers. C’est aussi dans la partie du bas que nous glisserons et déposerons les dossiers de l’ordinateur vers l’hébergeur. Il s’agit donc de retrouver le dossier dézippé de WordPress, de sélectionner tous les fichiers et de les glisser dans le dossier de l’hébergeur. Ça peut prendre quelques minutes.
Paramétrez WordPress
Il manque une dernière étape pour accéder au tableau de bord de WordPress. Nous n’avons pas parlé du nom de domaine. En général, vous l’avez acheté en même temps que votre abonnement chez IONOS, OVH ou autre. Il se présente sous forme de monsite.fr ou monsite.com. Retournons donc chez l’hébergeur. Dans l’onglet Domaine de votre hébergeur, vous prendrez soin de « Modifier le type d’utilisation » de votre domaine. Il s’agit d’indiquer à l’hébergeur l’utilisation de l’espace web loué. Dans notre cas, il sera utilisé comme un espace web.
Vous pouvez maintenant accéder à votre site en saisissant son URL (monsite.fr ou monsite.com) dans votre navigateur. WordPress vous propose alors de l’installer. C’est ici que vous aurez besoin des paramètres de la base de données. Ensuite vous vous laissez guider. Pour vous connecter à votre tableau de bord par la suite, l’URL est monsite.fr/wp-admin.
Vous avez réussi l’installation de WordPress. C’est un peu technique mais c’est simple à partir du moment où on a toutes les informations à disposition. Ensuite, il vous reste à choisir un thème et concevoir votre site. Il est en ligne. Félicitations !
Un site internet est codé en langages informatiques. Le HTML
et le CSS permettent de créer des sites simples, sans fonctionnalités. Mais, si
on veut, par exemple un formulaire de contact alors il faut du php, du javascript
et autres. C’est un métier ou de la passion.
Qu’est-ce qu’un CMS ?
Les CMS ou Content Management
System sont des systèmes de gestion de contenu. Ce sont des applications qui
gèrent le code. Il en existe de plus en plus. Les plus connus sont WordPress,
Joomla et Drupal. Mais d’autres comme Wix et Jimdo prennent leurs parts de
marché.
Ils se composent d’un front-end
et d’un back-end. Le front-end est la partie sur laquelle navigue votre
visiteur. Le back-end correspond au tableau de bord et à tout ce qui permet de
paramétrer le site.
De ce fait, les CMS ont
l’avantage d’être faciles à prendre en main et de limiter le budget.
Pour quels types de sites ?
Chaque CMS s’est spécialisé.
Cependant, chacun permet de faire tout type de sites. WordPress, par exemple
qui reste le plus répandu est plutôt destiné aux blogs. Pourtant, d’après le
site Blog du Modérateur, 60,1% des sites de la toile utilisant un CMS sont faits avec
Wordpress. Joomla créera plus facilement un site multilingue. Drupal s’adresse
aux développeurs créant des sites plus conséquents mais ils tous capables de
faire n’importe quel site. Le choix dépendra de votre affinité avec le CMS,
Wordpress ayant la réputation d’être le plus intuitif.
Comment démarrer le site
La procédure est toujours la
même, en tout cas pour les CMS les plus connus. Il suffit de se rendre sur le
site officiel du CMS et de télécharger la dernière version du logiciel.
Ensuite, on l’installe directement chez son hébergeur ou sur son ordinateur. Le
démarrage est assez simple et après quelques clics, on a vite la satisfaction
de voir la première page de son site.
Ensuite, il suffit de se
connecter à son site pour commencer à le personnaliser et y insérer le contenu.
Les contraintes techniques
Outre la prise en main de
l’application, il y a quelques manipulations un peu techniques à faire. Il
s’agit de créer une base de données et de la relier au CMS.
La base de données regroupe,
sous un format informatique, le contenu de votre site. Elle se trouve chez un
hébergeur. Théoriquement, ce n’est pas compliqué. La procédure consiste à se
connecter à son hébergeur et de créer une base de données, vide. Votre hébergeur
vous communique, alors les paramètres à saisir lors de l’installation du CMS.
Chaque CMS se vaut. Nous
travaillons plus volontiers avec WordPress. La raison est simple. Nous avons
recueilli le ressenti de nos clients et il apparaît que WordPress leur paraît
le plus intuitif et le plus facile à prendre en main. Nous vous parlerons, donc
prochainement de WordPress.
La création d’un site internet est souvent vécue comme une étape de la vie du projet. Certains créateurs vont y penser comme une formalité de la mise en place du statut de professionnel, d’autres quand tout est en place et qu’il « ne reste plus qu’à » vendre. La création d’un site internet est souvent vécue comme une obligation et fait peur. Alors comment préparer ce projet ?
Pourquoi créer un site web ?
Les raisons de vouloir créer un site internet sont variées. Aussi, avant de se lancer, il faut penser à l’objectif que le site doit atteindre. Est-ce qu’il sera une carte de visite virtuelle ? Proposera-t-il des produits et services à la vente ? Est-ce qu’il sera un moyen de communiquer des événements ou des actualités ? Autant de réponses qui permettront de définir la structure du site.
Pour un site vitrine, il peut n’avoir qu’une page, en tout
cas un nombre limité. Pour une boutique, il aura un catalogue et un module de
paiement. Pour communiquer, il peut avoir ou être un blog.
Le blog se différencie du site en ce qu’il est composé d’articles, d’actualités, d’informations. Il implique une fréquence de publication régulière. Le site, quant à lui, est statique. Il présente une entité, une structure et n’est pas amené à être mis à jour souvent.
Ainsi défini, le blog a pour principal objectif de démontrer
l’expertise de l’auteur et donc de bâtir sa notoriété.
Créer son site ou en confier la conception à un professionnel ?
Il est tout à fait possible de faire son site soi-même. Il
existe des logiciels comme WordPress, Joomla, Drupal, Wix et bien d’autres qui
évitent d’avoir à coder un site.
Ils sont plus ou moins faciles à utiliser. Pour certains, il
n’est même pas nécessaire d’être à l’aise avec l’informatique. Il suffit
d’avoir un peu de temps pour s’approprier le logiciel.
Cependant, il faut garder à l’esprit qu’un site doit répondre à certaines règles légales ou fixées par Google. De ce fait, se faire aider par un professionnel, c’est avoir la certitude de répondre à ces obligations ou préconisations. De plus, il vous fera gagner du temps et de l’énergie. Il s’agit ici de penser en chef d’entreprise et de calculer le retour sur investissement.
Du temps pour créer mais aussi pour gérer le site
Un site statique a peu de chances de se positionner en première page de Google. Il doit vivre et générer du trafic. En effet, Google a pour objectif de satisfaire ses clients, les internautes. Aussi, il leur propose des contenus correspondants à leurs requêtes, de préférence récents.
Le site, pour attirer Google et donc les utilisateurs
d’internet doit être vivant. L’idée est de poster régulièrement des articles ou
des actualités sur le site. Habituellement, ça se fait dans un onglet
« blog » ou « actualités » du menu principal ou dans la
page d’accueil.
L’alimentation du blog prendra du temps. Il faut en tenir
compte. La rédaction d’articles est un vaste sujet dont nous reparlerons. Sachez
déjà que la publication doit être régulière, les textes doivent être structurés
et comporter des mots-clés par exemple. Mais surtout, l’article doit apporter
des informations utiles et s’adresser aux lecteurs.
Faire connaître son site
Souvent, les gens pensent qu’une fois le site en ligne, ils vont avoir du trafic sur le site. Ce n’est pas si simple. On recense environ 1,5 milliards de sites en 2019. Il faut donc, comme vu précédemment se démarquer et faire vivre son site. Son adresse doit figurer sur tous vos outils de communication.
Les réseaux sociaux et les forums sont également un moyen de faire la promotion d’un site. Cependant, tous les groupes n’acceptent pas la publicité sur leur page. Il convient d’être vigilant et de respecter les règles de chaque groupe afin de ne pas être exclu et de communiquer à bon escient.
Maintenant, si ce n’est pas encore fait, je vous invite à réfléchir à votre projet et à le partager éventuellement avec nous.
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