Les extensions (aussi appelées plugins) permettent
d’augmenter les possibilités sur votre site WordPress. Elles ont différentes
fonctions, que ce soit la sécurité, la sauvegarde ou tout simplement une
fonctionnalité du site, comme une newsletter ou la gestion d’événements.
Faut-il pour autant les multiplier ?
Comment choisir les extensions ?
Notre précédent article évoquait les raisons de ne pas abuser des plugins. Pour
mémoire, nous parlions du poids du site, de l’incompatibilité des extensions
entre elles et des conséquences sur le référencement naturel.
Il ne s’agit pas de limiter le nombre de fonctionnalités
mais bien d’optimiser les extensions choisies. Aussi, avant de télécharger une
extension, il faut :
Choisir parmi la liste des extensions WordPress
La communauté WordPress est suffisamment
vaste pour proposer des solutions adaptées à WordPress. Il vaut mieux éviter de
télécharger un plugin inconnu sur n’importe quel site.
Vérifier la compatibilité avec la version WordPress du site et la date de la dernière mise à jour
Ça permet d’éviter que l’extension ne
fonctionne pas ou même, ne soit tout simplement plus maintenue et soit vouée à
disparaître.
Préférer une extension énormément téléchargée
C’est un premier pas vers le gage de
qualité.
Privilégier une extension gratifiée de 5
étoiles, 4 minimum
C’est le deuxième pas vers le gage de
confiance inspirée par le plugin.
Lire les derniers commentaires pour vérifier
qu’il n’y ait pas de bugs sur la dernière version
Personne n’est à l’abri d’une erreur ou d’une
incompatibilité. La réactivité des développeurs maintiendra la confiance dans le
produit.
Bien entendu, l’extension choisie répondra à vos besoins
afin de ne pas avoir à en télécharger d’autres qui la complèteront. Le risque
dans ce dernier cas, c’est d’avoir des extensions avec des
« options » similaires et qui vont créer des incompatibilités entre
elles.
Les alternatives
L’utilisation des plugins est une solution. Cependant, il
faut savoir qu’il existe d’autres solutions :
Les outils fournis par le thème
Les thèmes payants sont livrés avec un
builder (un constructeur de pages) qui offre un choix de modules. L’inconvénient
c’est qu’ils ne répondent pas forcément aux attentes en termes de performance
ou de design. Le formulaire de contact d’un thème, par exemple ne sera pas
aussi flexible que celui du plugin Contact Form 7.
L’insertion de code
Le frein ici est de savoir le faire. Coder
est un métier surtout qu’il est important de produire un code propre pour avoir
un site performant. Mais parfois un petit bout de CSS permettra de changer le
design d’un bloc. Ou encore un bout de PHP permettra de changer le comportement
d’une fonctionnalité.
Vous l’avez bien compris, il n’y a pas de nombre
d’extensions à ne pas dépasser. Il faut bien les choisir, les mettre à jour et
surveiller leur comportement après chaque mise à jour afin de conserver un site
performant et dont vous pouvez être fier.
Il sera bientôt l’heure des bonnes résolutions de l’entrepreneur. Entendez par là qu’il faut préparer la nouvelle année. Mais avant ça, il faut faire le bilan de l’année échue. Bilan comptable peut-être mais surtout bilan sur l’état d’avancement du projet de création d’entreprise, de franchissement d’une étape supplémentaire ou tout simplement d’avancement.
L’année passée
En qualité de chef d’entreprise, l’année finit souvent sur
des interrogations. Est-ce que tous les efforts de l’année ont porté leurs
fruits ? Les décisions prises, étaient-elles les bonnes ? L’objectif
a-t-il été atteint ? Aurait-il pu être plus ambitieux ?
A l’échelle du professionnel ou de la TPE, il est légitime
de se poser ces questions. Elles font avancer. Elles devraient même être posées
sur une feuille, dans un tableau :
première colonne : les objectifs posés en
début d’année écoulée,
deuxième colonne : les actions mises en
œuvre pour les atteindre,
troisième colonne : les résultats obtenus
pour chaque action,
quatrième colonne : les réussites qui
n’étaient pas attendues,
cinquième colonne : les opportunités non
transformées.
Puis, sur une autre feuille, l’analyse des données permettra
de tirer des conclusions.
Les bonnes résolutions
Le bilan de l’année écoulée est fait, il reste à prévoir l’année à venir. Là encore, un tableau peut être utile pour y voir plus clair. L’idée est de mettre en place les bonnes résolutions de l’entrepreneur ou plutôt un plan d’actions pour :
Déterminer le ou les objectif(s) à atteindre
L’objectif, de préférence est chiffré afin de pouvoir
calculer un retour sur investissement à la fin de l’année. De toute façon,
l’objectif doit être raisonnable. Il s’agit de se donner une chance de
l’atteindre. L’idée est de franchir les étapes les unes après les autres afin
de ne pas se disperser. En mettant la barre trop haute, le risque d’échec est
important, générant de la perte de motivation, de temps et peut-être même
d’argent. En mettant la barre trop basse, le risque est de se démotiver.
Définir les actions pour y arriver
Les actions peuvent prendre différents caractères : créer un site internet, se faire connaître localement, louer une boutique éphémère,… Quoi qu’il en soit, elles servent l’objectif fixé pour l’année.
Détailler chaque action
Certaines actions ne mériteront peut-être pas d’être
découpées mais d’autres nécessiteront de s‘organiser. Par exemple, louer une
boutique éphémère suppose de la trouver, de rédiger son dossier, de faire les
démarches adéquates mais aussi, de prévoir les aménagements, la décoration,
l’encaissement,…
Prévoir un planning avec des étapes
Parfois, les actions suivront logiquement les événements du
calendrier, comme les soldes ou les marchés de Noël, parfois il s’agira juste
de les étaler dans le temps. Poser des dates jalons évite de procrastiner. Il
ne faut pas oublier également de prévoir un laps de temps suffisant pour chaque
tâche.
Allouer, éventuellement un budget à ce plan d’actions.
Enfin, le budget dépend des actions prévues et des
disponibilités financières de chacun.
Pour résumer, je citerai Jim Rohn, entrepreneur américain, écrivain et coach en développement personnel et en motivation « Ce n’est pas le vent qui décide de votre destination, c’est l’orientation que vous donnez à votre voile. Le vent est pareil pour tous. »
Les plugins ou extensions sont des modules qui apportent des
fonctionnalités supplémentaires à un logiciel. Au quotidien, ils sont présents
dans nos navigateurs web, dans nos logiciels de bureautique, dans nos logiciels
de créations mais aussi dans les Systèmes de Gestion de Contenu comme
WordPress.
Pourquoi des extensions ?
Les plugins permettent d’alléger les logiciels dans le sens
où, plus un logiciel est léger plus il est facile de le maintenir. Il est
également plus rapide dans son fonctionnement.
Ainsi, l’ajout d’extensions permet de n’installer que les
fonctionnalités nécessaires. WordPress, dans sa version open source, c’est-à-dire
sur https://wordpress.org/ dispose d’une bibliothèque
de milliers de plugins gratuits ou payants créés souvent par une communauté de
développeurs bénévoles. Chacun y trouvera donc ce dont il a besoin pour
personnaliser son site.
Toutefois,
logiquement, lorsqu’on ajoute des extensions sur WordPress, on alourdit le
système. La multiplication des extensions peut avoir des effets néfastes, comme
des incompatibilités entre elles générant des bugs et un ralentissement du
site, entrainant des conséquences importantes au niveau du référencement
naturel. Pour ma part, je n’installe que les plugins dont j’ai besoin et
supprime ceux qui ne sont pas utiles au site.
Quels plugins installer sur WordPress ?
Je ferai la distinction entre les extensions qui me semblent
indispensables et les extensions qui me semblent utiles.
Les extensions indispensables sont celles qui permettent de
sécuriser le site et de le sauvegarder. On trouve des plugins payants comme WP
Rocket, d’autres gratuits ou freemium comme All In One Security. Akismet, qui
est installé par défaut sur WordPress (amis non activé), protège contre les
spams. A mon avis, il faut aussi installer un plugin pour mettre le site en
conformité avec le RGPD.
Les extensions que je trouve utiles sont souvent celles qui complètent
les constructeurs de WordPress ou du thème. C’est par exemple un gestionnaire
d’événements, comme Event Calendar, un gestionnaire de newsletter, comme
MailChimp ou MailPoet, ou encore Yoast pour aider à optimiser les articles du
blog.
Ce sont des fonctionnalités que WordPress et les thèmes ne
proposent généralement pas. Aussi, à moins de maîtriser le code, il est plus
simple d‘ajouter une extension sur le site afin de répondre aux besoins.
Il existe des milliers de plugin pour WordPress et je n’ai
pas de préférence. Je recherche ceux qui correspondent le mieux au projet sur
lequel je travaille. Ceux que j’ai cités plus haut, ont été téléchargés des
dizaines de milliers de fois et ont été reconnus performants. Mais peut-être
seront-ils trop complets et donc trop lourds pour un simple site vitrine.
Aussi, une étude s’impose pour trouver celui qui conviendra le mieux.
Et voilà. WordPress est installé et le tableau de bord nous parle entre autre d’articles et de pages. Qu’est-ce qu’une page ? Qu’est-ce qu’un article ? Quelle est la différence entre les deux ? Petit récapitulatif.
La page internet
La page est dite statique. C’est à dire que ses dates de
création ou de modification n’ont aucune importance pour les informations
qu’elle communique. C’est l’exemple de la page « Qui
sommes-nous ? » ou des mentions légales.
Les pages ont également une hiérarchie. Des pages parents
regroupent des pages enfants. L’utilité de cette hiérarchie est surtout d’avoir
un affichage clair de l’arborescence du site dans le tableau de bord. Imaginons
un site proposant des services aux particuliers et des services aux
entreprises. Le site pourra avoir deux pages parents – une page
« particuliers » et une page « entreprises » et des pages
enfants. Ces dernières présenteront les services, d’une part pour les
particuliers et d’autre part pour les entreprises.
Ainsi l’affichage de l’onglet « pages » dans
WordPress présente un ordre lisible immédiatement.
L’article
Contrairement à la page, l’article est daté. D’ailleurs sur certains sites, le blog s’appelle Actualités. L’article possède donc une date mais aussi un auteur et un espace dédié aux commentaires. Bien entendu, il est possible de ne pas afficher ces informations. Dans tous les cas, les articles s’affichent par ordre ante chronologique.
L’article peut entrer dans une catégorie. En général, la catégorie
apparait dans l’article à côté de la date et du nom de l’auteur. Selon le
thème, il peut apparaître ailleurs. L’objectif des catégories est de faciliter
la navigation de l’internaute et votre organisation dans le tableau de bord.
Un article peut avoir aussi des étiquettes. Les étiquettes ou
tags servent à regrouper des articles classés dans différentes catégories. En
effet, il n’est pas toujours évident de classer un article dans une seule
catégorie. L’étiquette permet donc de créer des thèmes supplémentaires.
Enfin, à ma connaissance, tous les thèmes prévoient un
module blog. Il permet d’afficher les articles d’une ou plusieurs catégories
dans une page. Ainsi, l’internaute clique sur le premier de la liste,
c’est-à-dire le plus récent, ou alors il clique sur celui de son choix.
De plus en plus, les pages et les articles ont les mêmes
possibilités. Ainsi, il est possible d’afficher des commentaires sur une page.
Le menu principal peut pointer également directement vers un article. Techniquement
c’est possible. Cependant, pour l’instant, il existe toujours un intérêt à
créer des pages pour la présentation institutionnelle et des articles pour les
actualités, ne serait-ce que pour structurer votre site. Aussi, avant de vous
lancer, je vous invite à bien réfléchir à l’arborescence de votre site.
Une adresse mail professionnelle se compose, entre autre de votre nom et/ou prénom et du nom de votre société, sous forme, prénom.nom@nomsociete.fr. Pourtant les micro-entrepreneurs et tous ceux qui souhaitent travailler seuls quelque soit leur statut optent plutôt pour une adresse sous forme nomsociete@gmail.com et parfois même prenom.nomXX@hotmail.fr.
Pourquoi créer une adresse mail professionnelle ?
Se présenter comme un professionnel
L’adresse mail hotmail ou yahoo ou autre même si elle contient le nom de la société paraît toujours moins légitime qu’une adresse en societe.fr ou societe.com. Mettez-vous à la place du destinataire qui recherche un professionnel. Il s’interroge sur le professionnalisme et le sérieux de la société dont l’adresse mail est chez yahoo ou gmail.
Conserver le lien avec les interlocuteurs
Ajoutez-vous systématiquement les destinataires ou les
expéditeurs de vos mails à votre liste de contacts ? Personnellement non.
Je déroule l’historique ou je saisis un nom, un prénom ou une société le champ
de recherche en fonction de ce dont je me souviens. Il est donc judicieux que
les trois se trouvent dans l’adresse mail pour optimiser les chances d’être
retrouvé.
Comment créer une adresse mail professionnelle ?
Pour commencer, il faut choisir un hébergeur comme IONOS, OVH ou autre selon des critères qui vous sont propres (prix, volume de stockage des données, localisation des serveurs, protocole POP, IMAP ou autre,…) et créer son compte.
Ensuite, voici les grandes étapes :
Créer un compte chez l’hébergeur
Vérifier la disponibilité du nom de domaine :
nomsociété.fr ou nomsociete.com. La plupart des hébergeurs proposent cette
étape,
Acheter le nom de domaine avec l’extension
souhaitée : .com, .fr, .email,… Cette étape est aussi possible chez la
plupart des hébergeurs,
Créer l’adresse mail en suivant le processus de
l’hébergeur.
Le prix du nom de domaine dépend de sa notoriété et de son
extension. Les hébergeurs proposent souvent des offres à partir d’un euro la
première année puis une vingtaine d’euros les années suivantes pour les noms de
domaines lambda. Quant à l’hébergement, il coûte entre 40 et 60 euros par an.
Rediriger les mails
Parfois, le créateur a commencé avec une adresse chez un
fournisseur gratuit. Il est toujours possible d’afficher une adresse mail
professionnelle.
La redirection de l’ancienne vers la nouvelle adresse mail
L’objectif de cette méthode est souvent de fermer l’ancienne boite mail. La manipulation se fait à partir du tableau de bord de l’ancien hébergeur. L’idée est, à réception d’un mail sur la boite nomsociete@yahoo.fr de :
Rediriger le mail vers la nouvelle boite,
Envoyer un message d’absence à l’expéditeur l’informant que le mail est redirigé vers l’adresse prenom.nom@nomsociete.fr et que l’adresse nomsociete@yahoo.fr sera fermée le jj/mm/aaaa.
La redirection de la nouvelle vers l’ancienne adresse mail
La particularité de ce procédé est de rediriger toutes les
adresses mails vers une seule. Je m’explique. Personnellement j’ai plusieurs
adresses mails : deux professionnelles et deux personnelles. Il y en a une
que j’estime être la principale. L’idée est de rediriger les trois autres
adresses vers celle-ci. Je n’utilise donc qu’un webmail (ou hébergeur) mais je
choisis l’adresse avec laquelle je veux écrire. En effet, sous les champs À,
cc, cci et objet, un nouveau champ permet de choisir l’adresse mail qui enverra
le mail.
La mise en place de cette redirection se fait en deux étapes
principales :
Rediriger les trois adresses mails vers la
principale depuis les hébergeurs de chacune,
Sur l’hébergeur (ou webmail) de la boite
principale, accepter les redirections.
Qui dit adresse mail professionnelle dit aussi adresse mail personnelle et personnalisée. Pour quelques euros mensuels, votre adresse mail peut être prenom@nomdefamille.fr ou prenom@nomdefamille.email. Ainsi, chaque membre de la famille possède son adresse mail personnalisée mais également chaque occasion naissance@nomdefamille.email, vente.moto@nomdefamille.fr,…
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