Trouver le temps pour écrire en période de confinement est
encore moins facile qu’en temps normal. Peut-être pensiez-vous avoir plus de
temps mais finalement entre le travail qui continue et les devoirs des enfants,
on n’a encore moins de temps.
Trouver le temps
L’avantage du confinement c’est qu’on ne regarde plus la
pendule. Nous avons beaucoup de choses à faire dans la journée mais pas de
contrainte horaire. Nous entendons partout qu’il faut garder une rigueur. La
durée de la situation et nos obligations professionnelles ou scolaires nous
imposent de continuer à garder un rythme.
À situation exceptionnelle, organisation exceptionnelle
L’idéal pour notre équilibre est de mettre le réveil le
matin et s’habiller. Ensuite, on nous conseille de faire notre journée de
travail avec une pause déjeuner et une pause détente. C’est valable pour chaque
membre de la famille. Mais l’organisation doit impliquer chacun. En effet, nous
ne sommes pas familiers des agissements de nos proches en dehors de la maison.
Nous ne savons pas comment ils se comportent dans le détail de leurs
occupations. Or aujourd’hui, chacun a emporté ses activités dans la maison.
Nous nous découvrons sous un nouveau jour. Il est donc important que chacun
participe à cette nouvelle vie.
La journée de travail
Il faut donc prévoir des plages dans la journée pour s’aider
les uns les autres et d’autres où chacun est seul. Une bonne organisation ne se
met pas en place d’un coup. Elle va s’adapter à votre rythme et vous allez vous
l’approprier.
Le mieux est de s’observer pendant quelques
jours et de noter chaque tâche et le temps qu‘elle demande.
Pendant cette observation, on repèrera aussi les
moments où on est le plus opérationnel.
Il sera peut-être plus opportun d’occuper ces
moments-là avec des tâches qui demandent plus d’attention ou plus longues ou encore
rébarbatives.
Pour ma part, le matin, je consulte les réseaux sociaux, les
sites de missions et autres sites ensuite je traite les urgences et seulement après
je traite mes dossiers.
Écrire
Quand on tient un blog, la fréquence de publication est
importante pour le référencement naturel. Du coup, si à la base l’écriture est
un plaisir, elle peut vite devenir fastidieuse. Pourtant, plaisir ou
obligation, elle va devoir rentrer dans le planning.
Se mettre en condition
Pour moi écrire est un plaisir. J’aime écrire des histoires
(vous avez d’ailleurs peut-être constaté que mes articles ne respectent pas
toujours les règles de l’écriture sur internet). Cependant, je n’arrive pas à
écrire partout. Je ne peux pas écrire dans le RER sur un petit calepin, par
exemple. J’ai besoin d’avoir du temps devant moi, d’avoir un espace confortable
et avec de bonnes ondes. Malgré ça, je n’aime pas toujours faire les recherches
pour argumenter mon propos. Aussi, je choisis un moment où je suis disponible.
Le matin me convient mieux. J’écris donc dans un lieu éclairé par la lumière du
jour.
Le thème
Je choisis les thèmes en fonction de mon humeur, de mon état de fatigue aussi. J’ai une liste de sujets à traiter. Je pioche dedans. Ils sont classés dans un certain ordre mais cette semaine par exemple, après quelques jours de confinement, la fatigue de la mise en place se fait ressentir. Aussi, je choisis un sujet qui me parle plus. La prochaine fois, je devrai reprendre ma liste. D’ici là je me serai préparée psychologiquement à travailler sur un sujet qui me plaira moins. Mais quoi qu’il en soit, je ne me défilerai pas.
Voilà, j’ai partagé avec vous quelques réflexions, quelques
astuces sur ma méthode de travail. Elle est perfectible. Aussi, si vous avez d’autres
idées, partagez-les ci-dessous.
L’orthographe est une marque de respect pour le lecteur. Même ceux qui font des fautes remarquent parfois des coquilles dans des textes. Malgré le peu d’intérêt que suscitent chez certains les règles de français, orthographe, grammaire ou autres, on constate qu’elles créent un certain confort de lecture.
3 raisons de respecter les règles de l’orthographe
Le sens de ce qu’on lit
Au regard, le respect des règles d’orthographe et de
grammaire est source d’harmonie. Que l’on fasse plus ou moins de fautes, quand
on repère une faute dans un texte, notre œil est accroché. Le lecteur perd
alors le fil de ce qu’il lit. C’est pour cette raison que l’écriture
« sms » convient aux textos mais ne pourrait convenir, en tout cas
pour l’instant, pour les textes plus longs comme un article de blog.
La vitesse de lecture
L’empattement des polices (ces petits traits qu’on trouve
sous les pieds de nos lettres, comme le i ou le n) permettent à l’œil de
glisser rapidement d’une lettre à l’autre et facilite ainsi la lecture.
L’orthographe et la grammaire, en rentrant dans nos habitudes facilitent
également la vitesse puisque l’œil ne se fixe pas dessus. La lecture reste
fluide.
La traduction
Un autre intérêt de la lecture à l’heure d’internet et de la
multiplication des informations dans des langues différentes, c’est la
traduction. Essayez de coller un texte plein de fautes dans Google traduction
et demandez-lui de le traduire dans une autre langue. Il ne va rien comprendre
ou va interpréter au risque de se tromper.
Le message perçu
Dans les forums et les groupes de discussion, certains
commentaires sont écrits phonétiquement.
Ils appellent en général deux types de réponses. Ceux qui arrivent à se détacher
des fautes et ceux qui ne voient pas le message parce qu’ils s’insurgent contre
le non respect des règles. En général, ils font la remarque mais les premiers
prennent la défense de l’auteur avec condescendance. Ce sont de faux débats
mais ça démontre que les règles de français sont encore ancrées.
Comment réduire le nombre de fautes
Aujourd’hui, malheureusement, même les CV comportent des
fautes. Pourtant avec quelques astuces, on peut en limiter le nombre.
Écrire des phrases courtes et simples
En écrivant des phrases avec sujet, verbe et complément, les
difficultés sont limitées. L’auteur a plus de chances de se trouver confronté à
des règles simples, à savoir la conjugaison simple du verbe et les accords.
Les relectures
On a souvent tendance à se relire rapidement et on laisse
passer des coquilles. L’astuce est de se relire deux fois. La première
relecture s’attachera au sens du message. Est-ce qu’il correspond à ce que je
veux faire passer ? Une fois que la réponse est oui alors on relit une
seconde fois. Cette fois, on oublie le sens et on lit syllabe par syllabe. Les
fautes d’orthographe deviennent alors évidentes.
Utiliser un correcteur d’orthographe
Les principaux traitements de textes possèdent un correcteur
d’orthographe. Ils ne sont pas infaillibles et ne remplacent pas l’humain. Ils
repèrent les principales fautes comme l’orthographe, les pluriels et souvent la
conjugaison des verbes. Cependant, je conseille de compléter cette méthode par
une relecture syllabe par syllabe.
La correction par un tiers
Enfin, pour les écrits qui ont un enjeu comme les lettres de
motivation ou les CV, il est primordial de faire appel à un tiers qui maîtrise
les règles de français. Des sites internet proposent de relire vos documents
moyennant finance. C’est certainement conseillé pour les thèses ou les
mémoires. Peut-être qu’une personne de votre entourage suffira pour ce qui
concerne votre CV ou vos échanges avec votre banquier.
Toutes ces astuces s’appliquent aux articles de votre blog.
Un texte avec des fautes ne donne pas confiance. Il crée le doute dans l’esprit
du lecteur même si le blogueur est expert dans son domaine. Il est donc dommage
de se priver d’une partie de son lectorat à cause de quelques fautes.
La longueur d’un article de blog ne serait pas une recherche
fréquente sur Google ? Pour écrire cet article dont le thème est le nombre
de mots dans un article de blog, j’ai fait un travail de préparation. J’ai
notamment cherché les mots que les internautes saisissent dans leur moteur de
recherche pour voir les réponses. J’ai utilisé, entre autre l’outil de Google.
Or, les volumes de mes requêtes n’étaient pas suffisants pour afficher des
résultats fiables. J’ai donc décidé de chercher les conseils de Google en
matière de longueur d’article.
Google et la longueur d’un article
Google ne donne aucune indication sur le nombre idéal de
mots pour qu’un article ait plus de chance de figurer en bonne place dans le
classement des résultats. Le moteur de recherche, dans la mise à jour Panda (2011/2012)
de son algorithme a mis l’accent sur la qualité
du contenu d’un site internet. On ne parle pas de quantité. D’ailleurs,
Google a dressé une liste de questions pour aider les blogueurs à rédiger des
textes de qualité. Voici certaines d’entre elles :
Auriez-vous confiance dans les informations
présentées dans cet article ?
Confieriez-vous vos données bancaires à ce
site ?
Est-ce le genre de page que vous voudriez mettre
en favori, partager ou recommander ?
Cet article a-t-il un nombre excessif de
publicités qui pourraient distraire le visiteur ou interférer avec le thème
principal de la page ?
Les visiteurs ont-ils des raisons de se plaindre
des pages de ce site ?
La sortie de Panda a généré une petite révolution dans les
classements des résultats de recherche. Alors, les référenceurs ont surveillé
de près les sites de leurs clients et en ont tiré des statistiques.
Alors, quelle est la longueur idéale ?
Aujourd’hui encore, les tableaux et autres graphiques présentés
sur les sites sont unanimes : pour figurer en première page des moteurs de
recherche, les articles doivent être longs. En général, les articles figurant
aux premières place ont plus de 2 000 mots. Mais est-ce vraiment une
condition ? Est-ce que tout simplement la qualité ne génère pas de la
quantité ?
Google recommande d’apporter de l’originalité, une approche
nouvelle dans le sujet traité. Cela signifie d’approfondir le thème afin de
chercher un autre angle. Ces recherches apportent très certainement de
nouvelles précisions à mettre en avant ou peut-être à ajouter aux informations
déjà présentes sur internet. Les articles se rallongent afin de traiter le
sujet dans sa globalité, ils sont de meilleure qualité. Et, par conséquent,
Google est susceptible de les afficher sur sa première page. Car, bien entendu,
la qualité de la page n’est pas le seul critère pris en compte pour le
classement. Le moteur de recherche veut de la qualité sur l’ensemble du site.
Vous l’aurez compris, la longueur d’un article n’est pas en
soi un critère de qualité. Google est capable, avec Panda, de juger de la
qualité de l’information contenue dans un site et de sa pertinence pour la
requête de l’internaute. Mais il a aussi été constaté que les articles les plus
longs ont plus de chance de bien se placer. Alors à vos plumes.
Sur WordPress, une des différences entre une page et un article c’est la date. Je m’explique. Les articles font partie d’un blog. Le blog est comme un journal. Il peut traiter d’un seul sujet ou avoir plusieurs thèmes mais quoi qu’il en soit, les articles sont publiés sur le blog à une fréquence régulière. La date fait donc partie de la définition de l’article. Elle permet un classement ante-chronologique afin de mettre en avant les articles les plus récents.
Quand un article date
Un article sur les dernières tendances de la saison ou un
comparatif sur les derniers smartphones se doivent d’être récents. Ils n’ont
aucun intérêt s’ils datent de plusieurs semaines, mois ou années. L’ancienneté
acceptable dépend du sujet traité et de la rapidité de son évolution.
Pour d’autres sujets, c’est moins évident. Quand un
internaute recherche une information, il ne lui est pas toujours évident de
reconnaître qu’elle est toujours d’actualité ou qu’elle est obsolète. La date
de publication ou une date de mise à jour (modification) est nécessaire pour
permettre à l’internaute de juger de la pertinence de l’information.
De ce fait, certains bloggeurs, pour attirer les internautes
sur leur site, n’affichent pas les dates de leurs articles.
La qualité du contenu
Pour contrer cette pratique, Google a intégré la qualité du
contenu dans la mise à jour Panda (2011) de son algorithme. L’objectif de
Google est la satisfaction des internautes, ses clients. Lorsqu’un internaute
saisit une requête sur Google, les résultats présentés doivent être pertinents.
Si l’internaute n’est pas satisfait des résultats affichés, il utilisera un
autre moteur de recherche.
Aussi, un des critères de qualité, outre l’orthographe et l’originalité
du texte est la fraicheur du contenu. Google fait appel à des évaluateurs
humains afin de vérifier que les critères sont respectés. En cas de non respect
des règles de Google, le site peut être sanctionné.
Cependant, compte tenu du nombre croissant de sites et de
blogs et malgré les moyens mis en œuvre par les moteurs de recherche, beaucoup
de blogs échappent aux mailles du filet. Ils ont donc prévu un filtre portant
sur la date des publications. Sur Google, il se trouve sous la barre de
recherche, à droite, dans l’onglet Outils. Vous pourrez dérouler un menu qui
vous proposera plusieurs choix.
Il n’en reste pas moins que je vous invite à vérifier la
pertinence des articles non datés ou qui possèdent une date de modification. Il
arrive que la modification porte sur un détail et non sur le fond de l’article.
Les mentions légales sont souvent regroupées dans une page dédiée. Il s’agit de mettre à disposition des visiteurs certaines informations. Au-delà de s’acquitter de ces obligations, ces mentions rassurent les visiteurs du site.
Les mentions légales du site non professionnel
Tout site doit présenter des informations en fonction de son statut. Généralement, on les trouve dans le footer du site, c’est-à-dire tout en bas. Dans un site de particulier, les mentions obligatoires sont :
Les coordonnées de l’hébergeur : nom, dénomination ou raison sociale, adresse et numéro de téléphone de l’hébergeur. Attention, les coordonnées du particulier qui est à l’origine du site ne sont pas obligatoires car elles sont en possession de l’hébergeur. Cependant, ce dernier ne peut les communiquer que dans le cadre d’une procédure judiciaire.
L’utilisation des cookies. Ce sont des fichiers qui tracent le comportement du visiteur d’un site internet. La finalité est d’améliorer le site afin qu’il réponde parfaitement aux besoins et aux habitudes des internautes. La page des mentions légales doit informer le visiteur des cookies utilisés et de leur finalité. Le site doit recueillir le consentement du visiteur avant de déposer ou lire des cookies sur son ordinateur. Il doit, également, lui permettre de les refuser.
Le traitement des données personnelles recueillies (par exemple, dans le cadre d’une newsletter ou d’un formulaire de contact). On entre dans le cadre du RGPD du 25 mai 2018. Le sujet est vaste et mérite un développement à part entière. En gros, l’idée est de mentionner le nom de la personne responsable des données, la finalité de l’utilisation des données, la durée de conservation des données et le droit d’opposition, de rectification, d’interrogation et d’accès.
Les sites professionnels ou institutionnels sont soumis à
des obligations supplémentaires.
Les mentions légales des sites professionnels
Les sites de micro-entrepreneurs
En plus des obligations déjà citées, les sites des
entrepreneurs individuels doivent mentionner :
Les coordonnées de l’entrepreneur : nom, prénom, adresse, numéro de téléphone, adresse mail,
Le responsable de la publication et le responsable éditorial (en général, l’entrepreneur),
Le numéro de SIRET,
Le numéro d’identification fiscale, le cas échéant,
En cas de vente sur le site : les conditions générales de vente (prix TTC en euros, frais et délais de livraison, modalités de paiement, service après-vente, droit de rétractation, durée de l’offre et coût de la communication à distance),
Pour les professions règlementées : règles professionnelles applicables, titre professionnel, nom de l’ordre ou de l’organisme auprès duquel une inscription a été faite, nom de l’État européen dans lequel le titre a été octroyé.
Les sites de sociétés
Quant aux sites de sociétés, ils doivent mentionner,
toujours en plus des mentions de la première partie :
Les coordonnées de la société : dénomination ou
raison sociale, adresse du siège social, numéro de téléphone, adresse mail,
Forme juridique (SASU, SARL,…),
Montant du capital social,
Le responsable de la publication et le
responsable éditorial,
Le numéro de SIRET,
Le numéro d’identification fiscale,
En cas de vente sur le site : les
conditions générales de vente (prix TTC en euros, frais et délais de livraison,
modalités de paiement, service après-vente, droit de rétractation, durée de
l’offre et coût de la communication à distance),
Pour les professions règlementées : règles
professionnelles applicables, titre professionnel, nom de l’ordre ou de
l’organisme auprès duquel une inscription a été faite, nom de l’État européen
dans lequel le titre a été octroyé.
Les manquements à ces obligations sont passibles de peines de prison et d’amendes. Toutefois, ces mentions permettront à des prospects ou clients de vérifier l’existence légale d’une structure et la pertinence de son offre avant de confier son projet, ses données personnelles ou bancaires à un site. De ce fait, le client est protégé, entre autre, par la transparence du site.
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